Horloge -
Moi ... ma vie ...
et tout ce que j'aime ...
La vie est une opportunité, profitez-en ...
La vie est belle, admirez la ...
La vie est un rêve, réalisez-la ...
La vie est un devoir, complètez-la ...
La vie est une belle chose ...
=
=
et le bonheur est le but de l'existence ...
La vie est un jeu, jouez-la ...
Présentation
7 ans après avoir triomphé au Théâtre Mogador, la comédie musicale culte de Broadway, Chicago, revient à Paris en 2025 ! Accompagnée sur scène par deux habitués du genre, Vanessa Cailhol et Jacques Preiss, l'irrésistible Shy'm incarne l'un des personnages principaux : Velma Kelly.
Biographie de Chicago Le Musical -
« CHICAGO est un show emblématique de Broadway, ses airs jazzy, ses chorégraphies spectaculaires, sa modernité et son ambiance « sulfureuse» en font un show à part, d'une folle exigence artistique.
L'histoire de CHICAGO :
Au cœur des années 20, à Chicago, Roxie Hart, une artiste de cabaret, tue son amant.
En prison, elle est confrontée à Velma Kelly, double meurtrière mais surtout, chanteuse de jazz et idole de Roxie.
Grâce à un avocat roué - Billy Flynn - les deux femmes trouveront la voie de la liberté et celle du succès.
Un show incontournable de cette fin d'année à découvrir au Casino de Paris !
Thérèse est la première femme à être embauchée sur les plateformes pétrolière en tant que pilote de surfer.
Thérèse est marin. Elle travaille sur une plateforme pétrolière offshore. "Elles sont sur la côte ouest de l'Afrique, essentiellement Gabon, Congo, Angola. Il y a toute une flottille de petits bateaux qui servent à emmener des travailleurs depuis la terre jusqu'à leur plateforme de travail et les ramener le soir. C'est comme un petit bus dans un archipel de bâtiments. Et moi, je le pilote."
Thérèse est donc chargée d'assurer le transport de travailleurs entre leur logement et les plateformes. Ces travailleurs sont essentiellement des hommes. "Dans le camp de Malongo, en Angola, il y avait plusieurs milliers de personnes. Il y avait quelques femmes, soit des cheffes, des ingénieures ou des managers de haut niveau, soit des femmes de ménage. Entre les deux, c'était que des hommes, des milliers d'hommes. Sur les plateformes, on était 200 et j'étais la seule."
Il n'a pas été évident pour Thérèse de rejoindre ce domaine d'activité. Elle a tout d'abord pensé qu'elle n'était pas suffisamment formée. "Je me suis dit 'je vais mettre toutes les chances de mon côté, je vais retourner à l'école et je vais passer le brevet suivant', parce que je savais qu'il était de plus en plus demandé par les affréteurs. Quand j'étais à l'école, j'étais la seule fille dans la classe."
Dans sa formation, on lui fait rapidement comprendre qu'elle ne pourra pas travailler sur une plateforme pétrolière en raison de son genre. "On a eu l'intervention d'un ancien capitaine d'armement de la boîte où je voulais postuler, donc je lui ai demandé des conseils. Il y a eu un petit silence et là, le gars a éclaté de rire. Il me dit 'bah non, c'est pas un métier de femme, c'est pas possible'."
Le formateur lui explique qu'aucune entreprise acceptera de la loger au milieu d'hommes. Sa formation terminée, grâce à une interlocutrice que Thérèse rencontre au salon du travail en mer à Brest, elle est finalement embauchée. "Quand je suis arrivée la première fois, j'étais un ovni parce que mes collègues se demandaient ce que je faisais là. En plus, à l'époque, j'avais des cheveux longs, blonds. En fait, je dépareillais complètement."
Sur la plateforme, Thérèse rencontre son formateur. "Il était congolais. Très rapidement, il m'a dit 'Je suis très content que tu sois là. T'es la première femme pilote, moi, j'étais le premier pilote noir et je vais t'expliquer comment ça se passe'. Et ça, c'était génial. C'est-à-dire qu'il me reprenait même des fois sur des éléments : 'si là, tu vois, quand tu es concentrée, tu te pinces la lèvre, ça veut dire que t'es pas à l'aise. Alors arrête de te pincer la lèvre parce que sinon, il y a quelqu'un qui va en profiter pour te faire une réflexion."
Ce formateur apprend à Thérèse les comportements et mécanismes de défense à adopter sur la plateforme ou le bateau quand on fait partie d'une minorité. "Tout doit être absolument nickel. Ton journal de bord, ça doit être nickel avec pas une tache, pas une faute. Tu te laves les mains à chaque fois que tu le remplis. En gros, il ne doit pas y avoir la moindre entrée à la critique. On était collègues en milieu hostile blanc, mâle."
Adriana et Arthur sont frère et soeur, une superbe complicité entre-eux, ils discutent de leur semaine à l'école, contents d'avoir bien travaillés ils apprécient ces deux jours de repos.
Bon week-end à vous tous. Je serai absente, je vais voir une comédie musicale au Casino de Paris, avec mes enfants, un petit resto également est prévu.
Gwenaëlle a 55 ans, après plusieurs emplois, elle se retrouve au chômage dont elle ne parvient pas à sortir, malgré les 1 500 CV envoyés. Elle soupçonne que son âge fait peur, serait-on vieux dès 45 ans ? "Je suis considérée comme senior, c'est un énorme choc.
Rien que le mot, je ne me sentais pas concernée, pour moi ça désigne ma maman (...) On essaye de tricher, de ne plus faire apparaître notre âge", mais elle a beau "traverser la rue", sa situation ne bouge pas d'un iota.
"Je rentre chez maman à 55 ans, je deviens un Tanguy"
Le calcul est vite fait : 1 000€ d'indemnités, avec 800€ de charges fixes et une fille étudiante à aider financièrement, c'est intenable ; alors Gwenaëlle décide de rentrer chez sa mère "J'ai éprouvé un énorme sentiment d'échec et de honte."
Elle partage son désarroi sur LinkedIn : "Être au chômage n'est pas un luxe de paresseuse assistée qui refuse de travailler. Nous pouvons tous être concernés par la précarité."
Elle reçoit beaucoup de soutiens et "de très jolis mots, mais rien de concret." Sa recherche d'emploi se poursuit, quitte à passer des entretiens innovants : "La semaine prochaine, je chausse une paire de baskets pour aller courir avec de futurs employeurs."
Elle vit une double situation : senior au travail mais toujours adolescente aux yeux de sa mère "J'ai de nouveau quinze ans, elle me gronde quand je ne suis pas à table à midi !"
Anne est née entendante dans une famille sourde. Elle dû se faire l'intermédiaires entre ses parents et le monde extérieur, traduire ou lire à la place de ses parents.
"Avec mes mots et ma voix d'enfant, je devais exprimer l'intention de mes parents."
Les parents d'Anne la sollicitent pour toutes leurs démarches. Plus qu'une simple gestion administrative, il s'agit de se faire la voix de ses parents : "Dans les situations de conflit, mon père me demandait vraiment d'incarner sa colère. Je voulais être crédible et surtout, qu'on ne ressente pas qu'ils étaient handicapés."
Lorsque la procédure de divorce débute, Anne a treize ans et se retrouve dans le bureau du juge des affaires familiales "Je traduisais ce que disait le juge et là le mot conflit ressort, je lui demande sa signification : il s'est mis à rire de moi." Se retrouver à faire la médiation au milieu d'un groupe d'adultes brise rapidement l'insouciance enfantine : "J'ai été confrontée à ce monde d'adulte très tôt. Je n'ai pas vécu une enfance sereine et joyeuse."
La responsabilité est lourde pour Anne, pourtant "Il n'était pas question de refuser, jamais." et les rapports parents-enfant s'en trouvent chamboulés : "On peut très vite se retrouver à être le parent de nos parents. C'est malaisant. On a envie d'admirer et de compter sur nos parents, là, c'était un peu inversé." Anne souligne une autre violence, celle qui se trouve dans le regard des autres et qui renvoie ses parents à leur handicap "On a envie qu'ils soient nos héros, nos protecteurs, pas les personnes en situation de faiblesse."
Cette relation perdure même à l'âge adulte "Aujourd'hui, ma mère me voit comme quelqu'un qui fait mieux, qui sait mieux, qui parle mieux. En quelque sorte, c'est vrai, mais c'est injuste."
Saint-Nicolas est particulièrement fêté dans le nord et l'est de la France, de manière généralisée en Lorraine, Alsace, Ardennes, Hauts-de-France et dans l'extrême nord de la Franche-Comté (autour de Belfort et Montbéliard), et de manière plus diffuse dans le reste du pays. Lors de sa « tournée », saint Nicolas distribue traditionnellement une orange et du pain d'épices ou brioche à son effigie.
La légende veut ainsi que, l'hiver approchant, trois enfants, partis glaner dans les champs, se perdent sur le chemin du retour ; attirés par la lumière filtrant des fenêtres d'une maison, ils s'approchent et frappent à la porte. L'homme qui leur ouvre, Pierre Lenoir (Peter Schwartz dans la culture germanique), boucher de son état, accepte de leur donner l'hospitalité pour la nuit. En fait, sitôt les enfants entrés, il les tue, puis, à l'aide d’un grand couteau, les coupe en petits morceaux, pour finalement les mettre dans son saloir (un grand baquet empli de sel), afin d'en faire du petit salé.
Saint Nicolas, chevauchant son âne, passe par là et frappe à son tour à la porte du boucher. L'homme, n'osant pas rejeter un évêque, le convie à dîner. Son invité lui demandant du petit salé, le boucher comprend qu'il est découvert et, pris au piège, avoue tout. Le saint homme étend alors trois doigts au-dessus du tonneau de petit salé, reconstituant et ressuscitant ainsi les trois enfants.
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